Score : Match 1 contre l’équipe A : 3 – 3
Match 2
contre leurs Vieux : beaucoup – à pas grand chose
Avec mon statut de futur-ex-homme
de presse, le sophrologue m’a demandé de rédiger ce commentaire. Et donc, je
m’y colle.
Ce fut une belle matinée, bien
chaude, comme on les aime au Sud de la Loire. Nos amis les anglais – divers
anciens des alentours d’un pub du sud-ouest de l’Angleterre - étaient arrivés
par avion la veille, certains avaient même eu le temps de dormir quelques
heures avant le réveil musculaire au Haras Lupin. Bref, ils étaient chauds
bouillants pour découper du Français. Nous aussi, ça tombait bien.
Un bien beau match débuta
alors : engagé, ne lâchant rien ni d’un côté (de la Manche) ni de l’autre,
des mêlées poussées qui auraient fait plaisir à Oum, pas de mots en trop
(normal, isn’t it ?).
Les Anglais marquent tout du
suite sur une sortie de regroupement le long de notre ligne par le pilier
filiforme petit côté. Puis, J’en Suis et Cristal leur rappelle qu’on est chez nous,
merde.
Résultat de la 1ère
mi-temps : 2-1 pour nous.
La suite fut du même tonneau,
mais à l’avantage des Anglais puisqu’un dernier essai leur permis d’égaliser à
3-3.
Puis vinrent les Vieux,
impressionnants mais peu mobiles, un peu comme nous à Saint-Germain…Et là,
c’étaient l’opération « portes ouvertes » du printemps, ça passait
« like in the butter », et tout cela dans le meilleur esprit, y
compris un ou 2 marrons, car un match France-Angleterre sans marron, c’est un
peu comme la gâteau sans la cerise ou le champagne sans les bulles ou le Haras
avec de l’herbe : inimaginable…
Et pour finir, lunettes de
soleil, barbecue, salades, bières, discours,
Au final, un bien beau souvenir
pour tous.
Man of the match (désigné par les
anglais) : « Jean Suis » (qui nous montrera son maillot-cadeau à
Montpellier).
Merci à tous les participants,
et, une fois de plus, les absents ont eu tort.
Doc
Berlin.
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