Tous
les chemins mènent à Maisons-Laffitte. C’est en tout cas le constat que nous fîmes à 10 H 01 en arrivant au
stade en ordre dispersé, après avoir suivi des chemins différents, plus ou
moins directs, qui nous ont permis de redécouvrir la banlieue.
Le
comité d’accueil était composé du vent, de la boue et des Frogbeefs –avec plus
de « frogs » que de « beefs » toutefois – et de la
Seine…Bref, cela ressemblait à une
campagne anglaise.
Et
puis nous, on était une petite vingtaine, juste de quoi se remplacer les uns
les autres et de souffler un peu de temps en temps. D’ailleurs, partis comme en
14, on se lance ; Noiraud, notre perce-muraille maison, y va de son essai
de centre, comme à l’entraînement.
Sauf
que cela n’a pas plu à nos hôtes qui se vengent dans la foulée avec leurs gros
puis encore une fois sur un contre. 1 à 2 à la mi-temps : rien n’est fait.
Et
puis voilà, leurs gros ont pris le match en main, et il faut parfois se mettre
à la faute pour arrêter leurs mauls. Il faut dire que l’on est un peu léger
devant, un peu court en touche et un peu trop gentil dans les regroupements.
Avec un peu plus de kilos et un peu plus d’engagement (en anglais
« agressiveness », de révolte, de « resistance »…), la
partie aurait été autrement équilibrée.
Le
match retour – à la maison – sera l’occasion de montrer à ces
« franglais » que les Voltigeurs
continuent le combat !
M.V.P. (Meilleur
Voltigeur Présent) : Le Maréchal (dont les 13 kg perdus nous ont bien
manqué samedi : encore un effort et il finira au centre)
Marqueur : Noiraud
Les Bonnes Notes du Chroniqueur Masqué : Domi, La Jaule, Eliott
Merci à tous les
participants, et, une fois de plus, les absents ont eu tort.
Tex
Commentaires
de l'équipe adverse
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