Au foot américain, dans
chaque équipe, il y a deux groupes : les attaquants qui jouent quand leur
équipe a la balle et les défenseurs qui … défendent. C’est simple, voire simpliste, efficace et un peu caricatural. C’était peut-être l’influence du SuperBowl de ce week-end.
Chez les Voltigeurs, lorsque le temps s’y prête et que l’on est le
premier jeudi du mois, il y a aussi deux équipes, soit 30 joueurs. Ceux qui jouent en première mi-temps et ceux qui jouent en deuxième. A
part cela, c’est tout, pas d’autre différence, même pas « ceux qui se sont
inscrits Doodle » et les autres, ni les premiers arrivés contre les
derniers, ni les divorcés contre les mariés, rien, si ce n’est la liste du
coach griffonnée entre deux rendez-vous au cabinet, annoncée dans la chaleur du
vestiaire.
Pas
de différence non plus au score puisque l’équipe des « possibles » a
gagné sa mi-temps 1-0 et l’équipe des « probables » 2-1. Victoire
totale puisque tout s’est fait dans la joie et la bonne humeur : les
sorties furent rapides, les remplacements fluides, comme les mouvements entre
les avants et les ¾ - notamment le mouvement d’école du premier essai parti sur
une touche à gauche du terrain et qui a fini à l’aile à droite-, les présidents
et maréchal contents. Et ce, même si le plus bel essai du match fut l’œuvre de
nos adversaires qui ont relancé de leur en-but pour finir dans le nôtre !
Finalement,
le rugby d’aujourd’hui, du Top 14 au rugby folklo, c’est la profondeur de
banc : un peu courte en équipe première actuellement, pléthorique chez les
Voltigeurs. Recette gagnante, la profondeur de banc et la
qualité du banquet : bière, vin blanc et choucroute.
M.V.P. (Meilleur
Voltigeur Présent) : Ivan
Marqueurs : Domi,
Ivan, Oum
Les Bonnes Notes du Chroniqueur Masqué : Jaule, Oum, Mathieu.
Merci à tous les
participants, et, une fois de plus, les –rares- absents ont eu tort.
Tex
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