Cette fois encore, les
aventures des Voltigeurs se plaisent à refléter l’actualité sous des formes les
plus variées. Ce qui me pousse à aller directement à la conclusion de ce
compte-rendu – les paresseux n’auront même pas à le lire- : notre groupe est à
l’image de la société, ni meilleur, ni pire, juste une société en
réduction...avec plus de bons moments et de poilades quand même et moins
d’”anxiogénité” (sic).
Actu 1 :
Délocalisation à tous les niveaux. Quand l’équipe première se délocalise au
Stade de France, les Voltigeurs vont jouer dans l’écrin vert de la Faisanderie.
Les plus anciens se souviennent de matches durs contre Tavaux ou Domont qui se
poursuivaient jusque dans les vestiaires. Toutefois, alors que la Première se
faisait “empapaouter” par un passage à vide de l’ennemi honni de Toulouse, nous
nous en sortions bien mieux avec une victoire large par le score mais serrée
comme le Maréchal dans sa combinaison de spéléologue néo-zélandais pour la
manière.
Actu 2 : La
présidentielle. Quel rapport, me diriez-vous, entre l’importance d’élire un
(nouveau?) président pour 5 ans et nos aimables jeux de fin de semaine ? Bon
sang, mais c’est bien-sûr ! Les débats.
Du type “Vous ne dites pas la vérité !” ou “Il l’a plaqué à retardement,
il faut l’exclure !!” ou “Mon adversaire détourne mes propos” ou encore “Il
triche, il est hors-jeu”… Le parti s’appelle le P.C.D. : “Poullaillerie,
Chamaillerie et Discutaillerie”. Son mot d’ordre : “Mieux vaut parler que
jouer”. Ses membres : peu ou prou, tous. Objectif : arriver à jouer tout un
match sans dire un mot !
Suspens,
donc, à tous les étages : qui sera qualifié pour la finale du 6 mai ?
qui sera barragiste ? qui sera le premier à « jouer sans parler » ?
A la
rubrique sportive, notons une nette amélioration des touches et de la défense,
les essais de belle facture des arrières Brice-le-nouveau (par 2 fois),
Noiraud, Pimpon, et aussi de Chicot, remonté comme une pendule depuis jeudi
soir.
Et
merci aux OH qui nous ont poussé à jouer dans un cadre magnifique, merci à
Christophe qui a donné de sa personne pour que les Voltigeurs soient acceptés
et à l’arbitre pour sa tolérance et sa force morale.
Tex
P.S. En anglais, Cocks veut dire
« bites », des anciens des Willies qui veut « bites »
aussi, tout un programme !
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