En deux mots, le match fut marqué par un certain
nombre de bonheurs et de malheurs, d’initiatives et de traditions, de coups
d’éclat et de coups durs, que je vous laisse le loisir de hiérarchiser en
fonction de vos priorités :
(i)- une course poursuite au score (1-0, 1-2, 3-2
pour finir par un valeureux 5-4),
(ii)- un arbitrage à la “Joubert” de l’entraîneur
de nos hôtes (voir l’excellente analyse disponible sur Youtube, intitulée : “Autopsie d’une finale” –cliquez là- http://www.youtube.com/watch?v=5p1YkXbWZg0) …
mais c’est normal, après tout, on jouait à l’extérieur , ce qui nous arrive
rarement, on n’avait qu’à se taire.
(iii)- le premier essai de Pastaga célébré au
club-house par une tournée générale de Jenlain
(iv)- un bel essai du “Pierrot de printemps” : le
fameux petit coup de pied au-dessus de la défense, repris dans les 22 et…essai.
(v)- les autres essais de Noiraud, de J’ensuis et
Ivan
(vi)- l’exclusion temporaire du capitaine pour
discussion répétée avec l’arbitre, du coup il faudra sans doute penser à nommer
un vice-capitaine la prochaine fois…
(vii)- le refrain de la chanson des Voltigeurs :
“Trop de parlotte, trop de fautes” (ça rime en ô); je vous assure, je l’ai
essayé quelques fois, plus on court, moins on parle, c’est physiologique !
(viii)- la critique : il faut améliorer 3 domaines
de jeu : le replacement, le replacement
et le replacement…qui permettent de récupérer des ballons de turn-over, de
conserver la possession, etc, bref de mieux défendre et attaquer…
(ix)- enfin, le meilleur pour la fin, on pourra
déplorer que l’Oeil de Domi n’ait pas résisté aux plaquages adverses et surtout
à l’auto-diagnostic suivant “c’est marrant, quand je respire j’ai l‘oeil qui
gonfle”, conclusion : fracture du plancher orbital ! Rassurez-vous le cerveau n’est pas atteint.
Gif-sur-Yvette est une
commune française située à vingt-trois kilomètres au sud-ouest de Paris dans le
département de l’Essonne et la région Île-de-France. Du village celte installé
sur le plateau du Moulon au vie siècle av. J.C. à l’abbaye bénédictine fondée
au xiie siècle, Gif fut très tôt un site agricole et spirituel important du
Hurepoix. Implantée dans une Vallée de Chevreuse verdoyante et reliée dès le
milieu du xixe siècle à la capitale par le chemin de fer, la commune devint un
lieu de villégiature pour les bourgeois et les artistes, tels Fernand Léger ou
le duc de Windsor. La seconde moitié du xxe siècle vit l’évolution rapide de la
commune avec l’implantation du CNRS ou de Supélec, et le lotissement « à
l’américaine » du plateau sud. Ses habitants sont appelés les Giffois.