Nouveautés 120
Les VoltigeursLe championnatLes tournéesLes insolitesIntranetContact

 

Accueil>Le championnat>Saison 2012/2013>Nouveautés 120

 

Match contre les Skarks de Dassault (match nul: 3 - 3)

Les Tontons Volti-Flingueurs,

C’est qui qu’a dit récemment  qu’on n’avait pas le quota de « tontons flingueurs » chez les Voltigeurs ?

Eh ben, c’est Zonzon, mais il  s’est complètement gouré !  Hier soir, ils étaient quasiment  tous là, dans leurs beaux costards.

Même ceux dont on pensait qu’ils s’étaient acheté une conduite voir une retraite (Gigi, Fausto, Dédé et tous les autres).

On a défouraillé très vite, surement énervé qu’on était par le coach des Sharks, légèrement grande gueule. Celui-là faut qu’il fasse gaffe. Un jour faudra pas qu’il s’étonne si ca pique quand il boit son pastis.

Ca flinguait de partout. Chez nous, chez l’adversaire, sur le banc, dans les tribunes et sur le terrain. Les bourre-pif ont fusés alors qu’on pensait être en pleine trêve… des confiseurs. Il caillait comme à Noël, faut dire.

Hier soir, on se croyait à un  casting pour la saison 1 du retour des :

                                                   « TONTONS VOLTI-FLINGUEURS ».

Mais attention, on se bouscule au portillon pour les premiers rôles, la concurrence est rude en interne. Etudions les premières propositions.

1) Le gars de Montauban (Lino Ventura) : On pourrait proposer Loulou. Toujours prêt à donner un p’tit coup de main pour un déblayage et à rentrer sur le terrain, même 5 secondes. Il habite un bled paumé au fin fond de l’Essonne, un peu le Montauban de la région parisienne. Parait-il qu’il aurait voulu tenter une vilaine cuillère sur l’adversaire qui filait droit vers notre en but.

Fausto aussi, de retour de convalescence en maison de repos à Montluçon, pourrait également jouer le rôle. Montluçon ou Montauban, y va pas chipoter. Dans les 2 cas, ca fait des bornes pour monter à Panam.

2) Raoul Volfoni  (Bernard Blier) : Cynique, méchant, et drôle à la fois : chez les voltigeurs, doit bien y avoir une quarantaine de prétendants pour le rôle.

3) Jean Volfoni (Jean Lefebvre) : Sans hésiter  Gigi !

4) Maître Folace (Francis Blanche) : Petit Prince, Coach, ou La Rube. Ce sont les plus érudits, les meilleurs connaisseurs des lois et règlements.

5) Antoine Delafoy, le jeune amoureux joué par Claude Rich : Immédiatement, on pense à Karlsberg ou Domi, nos beaux gosses fringuants. La Jaule était en bonne place jusqu'à samedi dernier 11h18. Mais mieux vaut être prudent et attendre qu’on lui retire ses bandelettes avant de  lui proposer le rôle du play-boy dans la saison II.

6) Le beau-père : Maréchal ou Doc  – sages en apparence, toujours élégants et stoïques. Faut juste leur trouver un monocle.

7) Patricia, la nièce : dilemme plus difficile…on pourrait choisir ceux qui ont la fesse la plus douce, les plus jeunes donc : soit Gamin, Elliot, Castor ou Pollux, même si ce dernier a le poil un peu trop dru.

Mais la préférence va sans hésiter à Castor. Sur le terrain, on l’a  beaucoup entendu gémir - de plaisir ou de douleur ?

Est-ce par jalousie que Pollux a tenté un fratricide en le piétinant à plusieurs reprises : la cheville d’abord, puis le tibia et enfin la tête. Réponse de Pollux, « ch’pouvais pas faire autrement, fallait que j’avance ».

Fin du casting des tontons à soumettre au Board et revenons au match !

Bravo à nos adversaires qui  courraient beaucoup plus vite et étaient relativement adroits. Même si quelques en-avant nous ont évité le pire,  les Sharks nous ont partouzés 3 fois.

Chez nous, sans parti-pris, très beaux essais. Le premier  de Pierrot, le deuxième d’une « grappe de gros » et enfin le troisième  égalisateur d’Elliot.

Ce match s’est terminé sur le score de  3 essais partout. Dommage, car nous dominions  la fin de cette 2ème période. Un 4ème essai était à notre portée.

Au débriefing, même le capitaine Grangran n’en revenait pas : Les « tontons volti-flingueurs » avaient réussi à fermer leur gueule quelques instants, et bizarrement  jouaient mieux.

Invaincus depuis le début de la saison, les voltigeurs sont rentrés satisfaits au vestiaire sur ce match pourtant nul. D’autant plus nul qu’il nous vaut de provoquer une petite « nervous break-down » à la Rube.

Trêve de plaisanterie… c’est  sérieux : Quand un voltigeur monte sur une chaise et tape avec son couteau sur un verre, c’est qu’il a quelque chose d’important à dire.

La Rube ! Reviens vite !  On va fermer nos gueules, promis !

Allez les gars, on na plus qu’à prier et surtout faire des efforts…La Rube a aussi le droit de ne pas se faire emmerder et de prendre du plaisir.

 

[<<][<][6][7][8][9][10][>][>>]

Copyright (c) 2006 Les voltigeurs. Tous droits réservés.